PROCESSUS
Du rêve à l’emballage, une méthodologie en 6 étapes
Comment un emballage voit-il le jour chez Cartonnages & Belles Manières ?
Description d’un processus en 6 étapes où se mêlent l’imagination et la rigueur.
1. Le rêve
C'est le temps de la passion et de l'émotion, la pensée doit glisser sans contrainte
Le client dépeint l'emballage de ses rêves. Pour cela, il parle avec ses mots, il explique le produit avec le langage de son coeur, il décrit l'histoire que l'emballage doit raconter.
2. Les contraintes
C’est le temps de la raison, la pensée se fait exigeante.
Pour se concrétiser un jour, le rêve doit franchir la barrière du réel et de ses contraintes. Les questions de Nadine sont là pour guider le client : Quel positionnement ? Quelle cible ? Quel carton ? Quel grammage ? Quelle notice ? Quel conditionnement, manuel ou mécanique ? Quelles modalités et lieu de transport : à plat sur palette ou en vrac ? Quelle cale ? Quelles quantités ? Quelle enveloppe budgétaire ?
3. L'idée
C’est le temps de la créativité, l’imagination combine le rêve et le réel.
Les idées prennent source entre le cerveau et la main de Nadine qui laisse son crayon glisser sur les feuilles de son bloc note. Certaines idées finissent dans la corbeille à papier alors que d’autres perdurent jusqu’à s’imposer. Ce sont celles qui sont proposées au client et avec lui affinées jusqu’à ce qu’il se reconnaisse pleinement dans celle qui sera finalement retenue.
4. Le prototype
C’est le temps de la matière, les sens valident le travail de l’imagination.
Le prototype « en blanc » réalisé dans le carton (FSC sur demande) et le grammage qui ont été choisis permet au client de voir l’emballage, de le toucher, de le soupeser, de le manipuler, d’y inclure son produit… et de valider si l’idée retenue était bien la bonne ou doit encore être retravaillée.
5. Le graphisme
C’est le temps de l’écriture, les mots et les images se mêlent.
Le tracé du prototype retenu est confié à un graphiste. Avec les couleurs, les typographies, les trames, les gaufrages, les estampages, les marquages à chaud, les vernis… la marque du client et le nom du produit sont mis en valeur, les spécifications du produit figurent en bonne place et les obligations réglementaires insérées comme elles doivent l’être.
6. La fabrication
C’est le temps de la concrétisation, l’artisanat ou l’industrie déploient leur savoir-faire.
Le prototype a été validé et signé, les quantités et les prix définis. Le « bon à graver » et le « bon à tirer » peuvent être signés et l’imprimeur peut lancer ses machines. Dernier gage de qualité, Nadine invite toujours le client à signer ce bon à tirer sur place, c’est à dire dans l’atelier de l’imprimeur, ainsi, le client assiste, en direct à la naissance de son produit.